ASLAV ( Au Service de LA Vie)

ASLAV → Au Service de LA Vie

Les problèmes → Trop de pansements tue les pansements !

• Il existe des dizaines de références de pansements et de dispositifs rendant l'offre de soin complexe et parfois ésotérique.

• Pour des professionnels de santé non experts, le choix est souvent difficile.

• Pour les structures, il est difficile de proposer des références satisfaisant tous les prescripteurs.

• Le choix d'un pansement est complexe et fait intervenir de nombreux paramètres → étiologie de la plaie, profondeur, stade de la plaie, douleur, aspect de la peau péri lésionnelle, niveau d'exsudats ...

Pour solutionner ces problèmes → nous n'utilisons que 6 pansements au quotidien

• Depuis 15 ans, nous suivons des patients porteurs d'ulcères de jambe, de plaies du pied diabétique, de retard de cicatrisation post opératoire et de plaies tumorales.

• Nous avons cherché à simplifier, optimiser et rationaliser notre prise en charge et, après toutes ces années, nous nous apercevons que seuls 6 pansements nous sont réellement indispensables

- ceci ne signifie pas que les autres pansements ne doivent pas être utilisés !

- mais dans dans le cadre de l'activité de notre service, ces 6 pansements nous suffisent

• Ces 6 pansements sont utilisés dans plus de 95% des plaies suivies pour les raisons suivantes

- pour leur efficacité dans le cadre d'un projet thérapeutique cohérent

- pour leur innocuité en limitant le risque de iatrogénie

- dans le but de rationaliser et d'optimiser l'offre de soin

- pour réduire les coûts

- dans un objectif d'éco-responsabilité

• En marge de ces 6 pansements, nous utilisons

- des topiques pour la prise en charge de la peau péri lésionnelle → dermocorticoïdes, émollients, asséchants, kératolytiques

- des compressions

Avertissement

• Ces protocoles sont issus de notre expérience et reflètent exclusivement notre habitude de prise en charge.

- ils sont mis en place après une évaluation globale de l'étiologie, des facteurs de retard de cicatrisation , des complications et des éventuelles intolérances du patient.

• Ces protocoles ne sauraient être utilisés pour vos patients sans validation par le médecin référent.